Une des clé pour réussir sa vie de couple
la différence entre les sacrifices et les compromis.
Bien-sûr, il y a plusieurs facteurs qui contribuent à la réussite d’un couple, mais aujourd’hui nous allons aborder un élément indispensable pour servir le succès d’une vie à deux sur du long terme: Les compromis.
Dans un couple, au fur et à mesure que le temps passe et que les années défilent; parfois même sans que l’on s’en rende compte; de nombreuses et nouvelles choses viennent se greffer à notre vie quotidienne. De nouvelles habitudes et des nouvelles amitiés stimulant de nouvelles situations. Des nouveaux loisirs ainsi que des changements de situations professionnelles. Ou bien encore le devoir parental qui demande une réorganisation des priorités de chacun, etc...
Bref, une multitude de nouvelles données qu’il va falloir gérer à deux si on est amoureux.
Évidement on va garder notre individualité et rester maître de nos pensées, de notre libre arbitre et de notre vision des choses. Mais ce que l’on veut, c’est pouvoir apprivoiser ces changements à deux et dans le respect des deux pour pouvoir aller le plus loin possible dans notre vie de couple. Nous sommes ainsi continuellement confrontés à mettre en place un équilibre au sein du couple avec tous ces nouveaux paramètres qui viennent régulièrement le déstabiliser, voire le fragiliser. Nous sommes donc également amenés à faire des choix pour maintenir cette stabilité. Mais ces choix peuvent alors se transformer soit en compromis, soit en sacrifices. D’où toute la complexité pour maintenir un couple amoureux heureux.
Dans un couple, le sacrifice demande à l’un d’abandonner quelque chose ou quelqu’un pour l’autre. Ces 2 mots abandon et sacrifice sont forts d’interprétation. Par conséquence, les répercutions seront toutes aussi puissantes pour la personne qui les subit. Qu’elles soient visibles ou pas, refoulées ou assumées.
Le sentiment qui va alors accompagner le sacrifice va engendrer de la frustration, de la colère ou de la peine. Dans le sacrifice, une forme d’injustice se créait pour l’un; alors qu'une part d’égoïsme se dégage de l’autre qui ne prend en compte que son besoin pour espérer avancer à deux.
Le sacrifice, qu’il soit amené à faire par amour ou par obligation laisse inévitablement des traces, des regrets, voire des blessures. Multipliez les alors, sur une plus ou moins grande période. Seuls deux résultats peuvent en découler.
_ Soit le couple ne peut plus s’entendre et finit par se séparer.
_ Soit l’une des deux personnes dans le couple; parfois même les deux; peut finir par s’oublier elle même et vivre une routine sans prendre conscience qu’elle n’est plus heureuse. Cette personne ne ressentira plus vraiment de joie de vivre, n’aura plus d’ambitions personnelles. Elle vivra dans une routine et laissera tout simplement filer sa vie.
Il est donc difficile, voire impossible de réussir sa vie de couple à travers des sacrifices.
Cependant, la plupart des sacrifices peuvent être transformés et vécus en compromis. C’est là, toute la solution pour ces situations et ces choix difficiles qui s’imposent dans un couple.
Alors comment s’y prendre?
Tout d’abord, dans un couple comme dans n’importe quel domaine, la communication est primordiale. Dans un couple, il faut être capable en permanence d’exprimer ses besoins, ses ressentis et ses attentes. Il est évident aussi, que la façon dont on va formuler le message qu’on veut faire passer à l’autre, a toute son importance. Il n’est pas question d’imposer une idée à l’autre ni de lui reprocher ses besoins, ses passions ou ce qui l’anime par rapport à une situation. Il s’agit avant tout, de lui faire entendre ce qui nous dérange et, ou, nous blesse. Comment et pourquoi on vit cette situation de telle ou telle façon. Exposer quels sont nos besoins par rapport à ça!
C’est seulement à partir de là que peuvent naître les compromis.
Ainsi, l’autre peut entendre. Pas forcément comprendre, mais entendre.
L’autre est ensuite libre de vouloir faire quelque chose de son propre chef et il sera enfin possible de chercher à deux la meilleure façon de respecter et de satisfaire le couple. Parfois, les solutions ne se présentent pas dans l’immédiat. Mais la situation est alors désamorcée et va automatiquement évoluer avec le temps. Le fait d’être à l’écoute, de respecter le ressenti de l’autre et de vouloir le meilleur pour l’autre par amour pour cette personne, permettra de trouver les compromis justes pour l’équilibre du couple.
L’élément clé pour ces situations, qui parfois peuvent être très délicates, est donc LE COMPROMIS.
Les compromis sont réfléchis et voulus par les deux personnes du couple. Par conséquence, il n’y a pas de colère, ni de blessure. Ces décisions ne viennent pas entraver l’image que l’on porte à l’autre. En effet, elles ne viennent pas briser le cœur de l’un ou de l’autre en l’obligeant d' accepter ou de partir.
La solution devient donc un choix personnel qui est alors automatiquement accepté.
je dirais pour conclure, qu’il est important de se respecter soi même bien évidement, mais il est tout aussi important d’écouter et de respecter l’autre dans son ressenti et ses désirs pour établir l' équilibre dans un couple. Et quand l’amour est présent, c’est bel et bien par le biais des compromis que celui-ci pourra durer un grand nombre d’années.
Gwendoline Valès,
Prévenir de la fin de la pandémie Covid19 ou du syndrome de la peur.
Chacun est libre de penser ce qu’il veut. Beaucoup de personnes ont une idée très précise du virus de la Covid19; des dégâts physiques qu’il engendre, de sa dangerosité… D’autre personnes croient alors fortement en son contraire et épient toutes informations à son sujet pour démentir sa nocivité et démontrer une manigance. Il y a aussi les gens qui ne savent pas du tout, pensant que toutes les théories n’en restent pas moins impossibles. Et enfin, ceux qui n’arrivent pas à se faire une opinion, mais qui se laissent porter par la vague et ses directives n’ayant pas d’autre choix que de respecter les règles et d’obéir aux ordres du gouvernement. Soyons tolérants les uns avec les autres. Celui qui ne pense pas comme l’autre n’est pas forcément bête, insouciant, méchant, parano ou quoi que ce soit. Il se fait juste sa propre idée en fonction de qui il est.
Concernant le virus de la Covid19, La seule vérité, la seule certitude et le seul constat sur lesquels nous sommes tous en accord : C’est qu’il plane au-dessus de nos têtes une menace. Et cette menace introduite par n’importe lequel des points de vue cité ci-dessus ; réveille en tout un chacun une émotion de peur. Notre réaction est totalement légitime. Mais du coup pouvons- nous nous accorder sur le point suivant ?
En effet, aujourd’hui tout le monde a peur du virus de la Covid19. Sur un plan médical, les informations liées au virus induisent la notion de perte et mort. Ni plus, ni moins. Et d’un point de vue psychique et psychologique, ces informations traduisent une notion de manipulation, de mensonges et, ou de complot. Quelle qu’en soit sa véracité médicale (voir le bilan qui comptabilisera le nombre de mort de la grippe et, ou de la Covid19) ; ce nouveau virus de la Covid19 est bien présent, et avant tout, au sens figuré. C’est un Virus psychique et psychologique mondial. Ses symptômes sont partout et sous diverses formes car ce virus se propage dans tous les foyers et impacte tous les domaines: professionnel, financier, relationnel et l’état de santé lié au stress qu’il accompagne. Il sévit sur l’éducation scolaire de nos enfants. Il restreint nos déplacements. Et pire encore, il reprend possession de certaines libertés que nos anciens avaient gagnées par le passé. Et oui, il va falloir travailler plus pour essayer de récupérer les pertes financières que le virus à causer. Bien sûr que ce n’est pas demain qu’on va pouvoir aller manifester pour quoi que ce soit (alors que les manifestations commencer à être persistantes dans plusieurs pays), cela représenterai un trop grand risque de contamination !... Aussi, la Covid19 mute tellement vite que sa « raison » a pris un certain contrôle sur les nouvelles technologies. Il s’étend par le biais des réseaux sociaux, tel un véritable virus informatique, permettant de traquer l’opinion publique. Je dis ça, je ne dis rien.
Savoir quand est-ce que cette pandémie prendra fin ? C’est compliqué ! ? ! ?! ? Certainement quand on sera approximativement prêt à se faire vacciner. Car après tout, c’est apparemment aujourd’hui, sa seule porte de sortie. Bien évidemment nous nous ferons vacciner ! Car soit nous auront peur réellement, d’un point de vue médical, de ce virus mortel et très contagieux. Soit nous auront peur réellement des conséquences, des représailles, des sanctions financières et autre de l’Etat si nous refusons ce vaccin lorsqu’il deviendra obligatoire.
Alors j’ai écrit ce petit article juste pour exprimer, un peu comme tout le monde, comment je vis cette pandémie. Certain en rit, d’autre se révoltent. Beaucoup partage à son sujet et tout le monde en parle. Moi aussi, je suis traquée par ce virus ! Il n’y a pas un jour où je ne suis pas confrontée à sa présence ; à la télé, à l’école, dans les magasins, sur les réseaux sociaux…. La peur de voir tout ce que cela engendre. La peur de connaître les conséquences physiques, morales, psychologiques, sociales, voire culturelles. Et enfin, la peur de découvrir l’issue de cette pandémie me prouve que je suis belle et bien, moi aussi, contaminée par ce virus ou autrement dit ; par le syndrome de la peur.
Valès Gwendoline
Les secrets
Le secret
Destructeur pour celui qui le porte, et de l’intérieur le ronge.
Manipulateur pour les personnes concernées, il les prive d'agir en pleine conscience et de choisir en toute liberté.
Le secret ne protège que celui à qui il déplaît de faire connaître la vérité et d'en assumer les faits.
Pour ceux qui se retrouvent alors enrôlés dans un secret, il se créait:
des émotions refoulées,
des comportements erronés,
un chemin faussé,
Donc une fausse identité qui contrefera le chemin de sa destinée.
Savoir se libérer d'un secret c'est se faire un cadeau et offrir aux autres la liberté d'en faire ce qu'il leur plaît.
C'est se libérer d'un poids qui nous empêchait d'avancer.
Et quelles qu’en soit les conséquences; un changement ne peut que s'opérer laissant place à la vérité, et faire face à sa réalité.
Gwendoline Vales
La communication non violente
Pour être heureux il faut s'aimer.
Il ne faut pas se reconnaître où s'estimer par rapport au regard de l'autre, mais il faut apprendre à se respecter, être à l'écoute de soi et de ses émotions.
C’est à partir de là qu’il sera plus facile et naturel de rencontre les bonnes personnes qui vont participer à notre évolution. Qui nous seront bénéfiques pour partager un bout de notre chemin, voir toute notre vie,
Il ne faut pas extraire de l'autre l'amour et l’image que l'on veut se porter.
C’est en donnant et en communiquant avec l'autre QUI l'on est vraiment que nous allons attirer l’ amour profond et sincère qui sera juste et bienfaisant.
C’est en partageant ce que l'on ressent vraiment que l'on attire les personnes qui nous correspondent et que l’on mérite.
Le développement personnel et le bien-être, est enfin devenu aujourd’hui une priorité pour beaucoup d’entre nous. Aussi, parmi les nombreux outils, les études et les connaissances qui nous sont accessibles aujourd’hui. Je souhaite aborder le sujet suivant.
La CNV (communication non violente)
La communication non violente et un processus qui permet d'exprimer nos demandes, nos besoins, nos ressentis avec les émotions que cela induit.
Elle donne aussi la possibilité à la personne en face de recevoir ces informations en toute légitimité. Sans influencer le sentiment que cela va produire en elle et qui lui appartient..
Cette communication est positive par son droit de laisser s’exprimer un sentiment qui à besoin d’être entendu, tout en étant objectif, donc juste car il appartient seulement à celui qui le fait entendre. Ce qui laisse la place à celui qui le reçoit d’y porter son propre jugement et d'accueillir par là même l’émotion que cela traduit en lui.
En effet vous avez certainement déjà entendu parler du fameux:
Le “ tu“ qui tue .
Quand on reproche quelque chose à quelqu'un on a tendance à l' incriminé, à le rendre responsable de ce que l'on subit. Mais toute victime de son bourreau est à l’inverse le bourreau de sa victime. Nous sommes tout autant responsable que l’autre de vivre, une ou des situations inconfortables, par notre comportement face aux événements .Nous sommes responsables de laisser les gens nous maltraiter. C’est difficile à entendre, mais nous sommes acteur de notre vie. C'est par notre attitude ou notre inertie quotidienne que nous laissons les autres nous faire subir ce que nous ne voulons pas.
Mais au delà de ça, et si on commençait par savoir communiquer!
Aussi,quand nous rejetons une idée où quand nous ne sommes pas d'accord avec quelqu'un, nous avons tendance à dire:
_ Non, tu te trompes.
_ Tu m’as trahi, tu n’es qu’....
_ Tu comprends rien…
_ Tu m’as laissé tombé.
Etc...
Avec le “tu” qui tue, nous fermons l’accès au dialogue avec la personne en face qui aura tendance à ne plus écouter ce que vous êtes en train de lui dire
Avec cette façon de s’exprimer nous sommes dans le reproche, l’accusation, la colère… Certe peut-être légitime “à nos yeux” mais nous perdons de vue ce qui nous fait souffrir, ce dont nous avons besoin, et quelle est notre “véritable”demande.
De la même façon, l’autre se sent attaqué, réprimandé, frustré et va donc se protège en se mettant à son tour en colère ou en prenant la fuite.Le dialogue sera alors rompu, et nous pouvons être sûr que le message que nous vouliez faire passer n’aura pas été entendu.
La discussion restera stérile, et notre émotion du départ se sera multipliée renforçant la colère et la négativité du sujet de base.
Alors comment changer son mode de communication ?
Il suffit de centrer les phrases par rapport à soi,
par rapport à son ressenti,
par rapport à l'émotion que nous voulons transmettre pour que la personne “entende” et “comprenne” ce que l'on vit,
ce que l’on essaie de traduire.
La souffrance que l’on exprime.
Exemple
_ Je ne penses pas la même chose que toi,peux-tu écouter mon raisonnement pour comprendre ce que j’essaie de te dire.
_ Je me sens trahi et j'en souffre.,je ne sais pas comment gérer ça.
_ Je n'ai pas l'impression d'être reconnu et ou écouté
_ je me sens seul.
Etc...
Lorsque nous ne sommes plus dans le reproche mais plutôt à l'écoute de soi-même.
Lorsque nous exprimons nos ressentis,
il y a plus de chance que la personne en face entendre votre souffrance et puisses avoir l'opportunité de modifier son comportement face à vous, face à la situation.
Elle entendra le message et pourra peut-être se remettre en question.
Elle pourra se justifier ou s’excuser.
Elle voudra peut-être vous rassurer et vous réconforter…
La personne aura aussi la possibilité de ne pas répondre favorablement à notre demande. Mais sa réaction sera honnête par rapport à ses propres émotions.Et si c’est le cas, cette situation nous permettra de savoir si nous sommes dans la bonne direction avec celle-ci ou pas.
La communication non violente ( CNV ) permet à la fois de ne pas perdre du temps avec des personnes qui ne sont pas bonne pour notre évolution.
Ou bien elle nous permet de construire des relations solides, de se faire entendre et respecter avec des énergies positives .
Alors apprenons à communiquer simplement, honnêtement et positivement.
Donnons nous la chance de vivre le plus sereinement possible, car nous avons à portée de mains des outils merveilleux dont nous connaissons l'existence, mais nous oublions trop souvent de nous en servir au quotidien.
La communication non violente est facile à mettre en place.
Au début il faut la pratiquer comme un exercice dès que nous y pensons. Puis plus nous la pratiquons, plus elle devient spontanée.et naturelle.
Alors n’hésitez pas, choisissez d’être positif;
Les résultats sont surprenants.
Gwendoline Valès
Au delà de la confiance, l'estime de soi.
L'estime de soi est un jugement que l'on se porte par rapport à nos propres valeurs dont l'origine nous est totalement personnelle. Des " idées " qui nous parlent profondément et qui sont propres à chacun, donc difficilement influençables.
Par ailleurs, la confiance en soi, qui est aussi un jugement, est légèrement différente car elle prend en compte nos capacités, nos qualités et nos défauts. Mais la confiance en soit découle surtout de nos expériences passés.
Ces deux sentiments sont donc des facteurs très importants pour évoluer et réussir dans la vie.
Partant de ce postulat, il est évident que les expériences de notre vécu influent favorablement ou défavorablement sur le regard que l'on va se porter.
A savoir que les différents paramètres responsables de ces "sentiments" vont être en grande partie :
- L'amour maternel et paternel que l'on va recevoir durant l'enfance.
- La comparaison que l'enfant fera entre lui et ses camarades. Notamment les différentes discriminations ( physique, sociale, raciale etc. ) qu'il rencontrera.
- Le parcours scolaire.
- L'activité professionnelle.
Et surtout :
- les abus (physique, moral, sexuel etc. ) que la personne subira durant toutes ces années d'expériences.
Donc selon notre histoire, nous allons cultiver une "bonne" estime de soi, ou au contraire l'abaisser. Et, par là même, nous allons optimiser nos chances de réussite ou à l'inverse subir de nombreux échecs.
Mais il est important de savoir qu'il n'est jamais trop tard pour soigner et développer l'estime de soi quand elle n'est pas bonne.
Quand on se "sous estime" ; Quand on s'ennuie dans notre vie; Quand on ne se sent pas épanoui et/ou comblé dans notre quotidien; Quand on accumule les échecs etc.
Pour se faire, il n'est pas indispensable de s’attarder sur les blessures ou échecs du passé en essayant de les comprendre. Il est plutôt recommandé de regarder vers l'avenir; D'apprendre à se connaître et se découvrir; De changer son regard sur les autres et soi-même; D'oser envisager un joli futur et de mettre en action toutes les démarches qui peuvent nous aider à aller de l'avant. Il existe différentes façons pour parvenir à cultiver une bonne image de soi; Des exercices à répéter, des activités sportives ou artistiques, des méthodes de conduite à tenir, des ouvrages pour nous guider etc. Et des professionnels pour nous accompagner car au fond on le mérite tous et il suffit juste parfois de le décider.
Il y à quelques mois, j'ai décrété que j'allais "changer" pour être maître de ma vie. Je me suis donc engagée dans un coaching de développement personnel.
J'ai eu la chance de trouver un " fabuleux coach" pour vivre cette expérience très enrichissante et épanouissante à travers un beau travail sur moi-même. Celui-ci m'a amené à soigner et embellir le regard que je me portais, ce qui me permet aujourd'hui d'être beaucoup plus confiante en l'avenir. De prendre les rênes de ma vie. De tout mettre en œuvre pour parvenir à ma réussite, .
Aujourd'hui, mon regard sur moi-même à beaucoup changé. Et... Non seulement je reste fidèle à mes valeurs, mais j'accepte aussi et surtout d'en être à la hauteur et plutôt que de les défendre j'ose les faire vivres.
Merci à Pelletier Thomas, coach professionnel, pour tout ce que son accompagnement m'a apporté.
https://www.accompagnement-et-strategie.com
Vales Gwendoline
Le lâcher prise
Le lâcher prise Pour qui ? Pourquoi ? Comment ?
Ce proverbe si courant de nos jours reste très complexe à comprendre et encore plus difficile à mettre en pratique. Alors que c’est aujourd’hui une des allégories les plus utilisées dans la psychologie, le développement personnel et la spiritualité de notre société actuelle. Elle n’en reste pas moins une attitude inhabituelle pour nous tous dans dans notre quotidien.
Constatant en effet que lâcher prise m’était plus que salutaire, je m’efforce d’y recourir le plus souvent possible. Mais j’ai rencontré quelques difficultés à le mettre en pratique dans certaines situations, ne sachant ni comment l’adapter dans à certains cas, et ne sachant ni même si ça pouvait s’appliquer à n’importe quelle circonstance. J’ai alors lu beaucoup de versions très différentes dans leur interprétation sur le net. Certaines sont exposées de façon très basique, et superficiel ; Alors que d’autre sont tellement sibyllins que je ne percevais toujours pas le sens profond du lâcher prise dans sa totalité. Puis un soir, j’ai entendu par hasard en regardant un film, une phrase que l’on retrouve assez souvent dans l’explication du lâcher prise. Mais qui cette fois-là, m’a fait écho!
"Donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer celles que je peux changer et la sagesse d’en voir la différence."
Alors ce qui est drôle c’est que j’ai fait des recherches sur cette citation, et j’ai d’abord lu qu’il s’agissait là d’une prière très utilisée lors de réunion pour les alcooliques anonymes. Mais j’ai ensuite découvert qu’il s’agissait avant tout d’une citation de Marc Aurèle, empereur romain et philosophe du II siècle.
Après ça, le lâcher prise me parler de plus en plus. Mais ce n’était toujours pas suffisant pour le mettre en application à chaque bonne occasion. J’ai alors lu l’ouvrage de Frédérique Van Her : Le guide du lâcher prise. (Très facile à lire et répertoriant plusieurs scénarios sur lesquelles on peut revenir de façon aléatoire). Et enfin, j’avais saisi toutes les dimensions de cette expression.
Le lâcher prise est donc une attitude positive, réaliste et opportune qui consiste à éviter de rester enfermé dans une situation qui nous est inconfortable. Il permet de ne pas anticiper un avenir qui pourrai nous faire peur et qui par là même nous figerai, ne permettant pas d’évolution. C’est aussi reconnaître et accepter nos limites pour pouvoir agir en fonction de notre « soi » profond et non pas en fonction des autres et ou, de ce que l’on idéaliserait dans certaines conjonctures qui nous incombent parfois. Le lâcher prise s’est faire avec ce qui nous est proposé mais en l’ayant accepté. C’est être en parfaite harmonie avec nos choix même face à une situation inconfortable…
Après cette étude que j’ai pu faire de ce sujet. Je rajouterai une notion indispensable à entendre que j’ai comprise à travers toutes ces lignes.
Dès notre plus tendre enfance, nous sommes conditionnés à « rentrer dans le moule ».
IL FAUT tout faire pour plaire et ne pas se sentir jugé par le regard des autres, ne pas être rejeté. IL FAUT être normaux, correspondre aux attentes imposées par l’éducation, et répondre aux codes sociaux. Il FAUT ressembler à tout le monde …. Nous sommes donc façonnés pendant près d’un tiers de notre vie. Nous mettons en place des « mécanismes » pour grandir. Nous nous forgeons des « carapaces » pour nous protéger. Nous mettons des « masques » pour être accepter… Nous sommes alors transformés peu à peu durant un grand nombre d’années sans même nous en rendre compte. Tout ça fini par nous éloigner de la personne que nous sommes vraiment. Nous nous sommes oubliés et nous perdons notre réelle identité. Puis nous vivons naïvement l’âge adulte pendant X temps, certain plus que d’autre, jusqu’au jour où l’on se rend compte que notre vie n’est pas franchement enrichissante. Ou alors que nous ne sommes pas épanouis, nous ressentons un manque que nous ne pouvons identifier…Parfois, c’est la vie qui nous met face à ce bilan en nous mettant certaines embûches sur notre route ( que nous vivons en plus comme un fardeau qui nous tombe dessus). Ce qui m’amène à dire que pour ne plus rencontrer des situations qui se résolvent grâce au lâcher prise, c’est qu’il est nécessaire d’apprendre à se défaire de tous ces mécanismes, ces masques, ces carapaces…IL EST IMPORTANT DE DÉCONSTRUIRE TOUS CES CONDITIONNEMENTS POUR SE RENCONTRER SOI-MÊME. Il vaut mieux se libérer de tous ces engrenages pour que notre vie soit en accord avec notre véritable personne. Apprendre à être SOI et s’accepter est aussi un travail qui ne se fait pas du jour au lendemain. Mais c’est un travail qui ne fait que du bien graduellement et qui qui vous conduira parallèlement sur la voix du bonheur.
Donc voici ma petite définition à moi du lâcher prise : C’est trouver un juste milieu entre ce que nous impose la vie et rester le plus juste possible avec nos profondes valeurs. Ne pas avoir peur d’avancer dans un chemin qui ne nous plaît pas, mais le faire en étant juste et à l’écoute de nos émotions pour amplifier son éventail de choix à chaque petit pas. C’est aussi abandonner les émois qui nous sont alors imposés au fur et à mesure de notre progression en restant à l’instant PRÉSENT le plus souvent possible.
PS : Les exercices pour lâcher prise sont en plus très amusants les premiers temps dans son travail d’observation. Et vous pourrez constater que l’évolution peut être rapide et devenir une habitude facilement. Après c’est sure que la vie nous réserve son lot de surprises, mais il est toujours plus agréable d’avancer le plus allégé possible.
Gwendoline Valès
Psycho VS Physio
Ce que nous gardons sous silence,
ne nous apporte que des maux.
Ce que nous pensons refouler,
se traduit par des plaies.
Ignorer nos émotions,
reviens à nous auto condamner.
Blessures psychologiques ou physiques;
Commençons par les regarder, tentons de les entendre, et cherchons à les accepter.
Au pire, on ne peut qu’avancer.
Nous sommes riches de nos pensées,
faut-il encore savoir comment les dépenser.
Avouons haut et fort tous ces mots.
Révélons les charpies de nos vies.
Considérons chacun de nos émois,
pour se sentir mieux, plus en paix avec soi-même et nous acquitter de nos culpabilités.
Parfois l’important n’est pas de trouver une solution ou une potion pour soigner une blessure. C’est en portant secours à chacun de nos mots/maux que l’on trouve le meilleur remède.
Gwendoline Valès
Provoquer le changement
Quand le problème est grand.
Parfois, il est bien plus difficile de prendre une décision,
que de passer à l'action.
Souvent nous tentons d'échapper à une situation
Guidés par notre ego qui se joue de nos émotions,
Et figés par nos peurs qui murmurent dans nos cœurs.
L'idée est alors de se poser les bonnes questions tout en balayant
les arguments de la déraison.
Un choix libre et honnête en vers soi même permettra l'équilibre.
Et nous apparaîtra alors de nouvelles perceptions
qui nous guideront vers les bonnes solutions.
Gwendoline Valès